Calculer la pension alimentaire adaptée à sa situation

Dans le contexte d’un divorce à l’amiable en France, le montant de la pension alimentaire dépend des ressources du parent débiteur. Les revenus mensuels nets, incluant salaires, allocations et autres sources de revenus, constituent la base du calcul de la pension. Vous devez donc tout faire pour avoir ces informations.

Le nombre d’enfants à charge influence directement le montant que le parent qui n’a pas leur garde devra verser chaque mois à celui qui l’a. Les charges courantes du parent débiteur, comme le loyer et les crédits en cours, sont également prises en compte. Quant au parent bénéficiaire, le niveau de vie habituel des enfants avant la séparation doit lui servir de première référence. Les frais spécifiques liés à l’éducation, comme les activités extrascolaires ou les études supérieures, doivent être pris attentivement en considération. C’est un montant déterminé à partir de ces informations qu’il indique à son avocat.

Le ministère de la Justice met à disposition un simulateur en ligne pour estimer le montant approprié de pension. Les parents peuvent s’accorder sur un montant différent du barème officiel si leur situation particulière le justifie. La pension alimentaire doit être réévaluée chaque année en fonction de l’évolution de l’indice des prix à la consommation. Les changements significatifs dans la situation professionnelle des parents peuvent justifier une modification du montant initial fixé.

Les frais exceptionnels, comme les dépenses de santé non remboursées, peuvent faire l’objet d’un partage spécifique. Le parent débiteur doit fournir des justificatifs de ses revenus pour garantir la transparence du calcul. Les allocations familiales et autres aides sociales sont prises en compte dans l’évaluation globale des ressources.

Déterminer le montant de la prestation compensatoire, dont on a besoin

C’est là un autre aspect important du divorce à l’amiable qui mérite toute l’attention des futurs ex-conjoints. La détermination du montant de la prestation compensatoire commence par l’évaluation précise de la durée du mariage. La durée de vie commune influence directement le montant que le conjoint peut légitimement demander à son ex-époux.

Le demandeur doit ensuite analyser minutieusement sa situation professionnelle actuelle et ses perspectives d’évolution de carrière. Les sacrifices professionnels consentis pendant le mariage pour élever les enfants doivent être soigneusement documentés. Le conjoint demandeur doit également calculer la différence entre son niveau de vie actuel et celui durant le mariage. L’évaluation des ressources mensuelles actuelles et la capacité à maintenir un train de vie similaire sont des éléments fondamentaux.

Le conjoint doit prendre en compte son âge et ses possibilités de retrouver une situation professionnelle stable. Les problèmes de santé existants ou potentiels qui pourraient affecter la capacité à travailler ne sont pas à prendre à la légère. Le patrimoine personnel acquis avant et pendant le mariage doit faire l’objet d’une évaluation détaillée. Les droits à la retraite entrent aussi en ligne de compte dans le calcul de la prestation compensatoire.

Le conjoint demandeur doit établir un budget mensuel détaillé qui comporte toutes ses charges courantes et exceptionnelles. Les frais de logement, dont le loyer ou les mensualités de crédit immobilier, représentent souvent le poste principal. Le coût de la vie quotidienne, comprenant l’alimentation, les transports et les charges courantes, doit être précisément évalué.

Les dépenses liées à l’éducation des enfants, même si distinctes de la pension alimentaire, peuvent gonfler le montant. Le conjoint doit anticiper les frais de formation professionnelle nécessaires pour retrouver une situation stable. Les dépenses de santé prévisibles, notamment les complémentaires santé, doivent être intégrées au calcul global. Les impôts et taxes qui seront à sa charge après le divorce ne sont pas à exclure.

Les frais d’assurance vie, de prévoyance et de mutuelle doivent figurer à l’évaluation globale. Le conjoint doit également prévoir une épargne de précaution pour faire face aux imprévus futurs. L’ensemble de ces éléments permet d’aboutir à un montant réaliste à présenter à l’avocat spécialisé en divorce à l’amiable.

Les suggestions de l’avocat

Dans un divorce à l’amiable, les recommandations de l’avocat sont basées sur la jurisprudence et les barèmes couramment appliqués. Ces montants suggérés sont censés mener vers l’équilibre financier de chaque ex-conjoint. Vous pouvez négocier avec votre avocat en expliquant votre situation et en apportant des justificatifs de vos charges réelles.

Cependant, des montants trop éloignés des barèmes habituels pourraient conduire le juge à refuser d’homologuer votre convention de divorce. Cette hypothèse concerne le divorce amiable par consentement mutuel judiciaire. Dans le cas d’un divorce amiable par consentement mutuel, donc sans intervention du juge, votre conjoint pourrait tout simplement rejeter votre demande. Il y aura alors blocage de la procédure.

Il est préférable de trouver un compromis raisonnable plutôt que de risquer de transformer le divorce amiable en procédure contentieuse. Un médiateur familial peut aider les deux époux, accompagnés de leur avocat respectif, à se mettre d’accord sur les deux montants. La priorité reste de préserver l’aspect amiable du divorce tout en défendant vos intérêts de manière réaliste.

Soyez à l’écoute et disponible

Faites preuve d’ouverture aux nouvelles idées, aux diverses perspectives et aux opportunités de coopération. Êtes prêt à échanger avec vos collègues et écoutez attentivement ce qu’ils ont à vous dire.
Par ailleurs, faites naître votre curiosité en exposant votre intérêt pour les projets et les initiatives de vos collègues en posant des questions. N’hésitez pas à exprimer votre curiosité et votre envie d’apprendre des autres. Cela peut offrir des opportunités inattendues.

Ensuite, engagez-vous activement, par exemple, participez aux activités de l’entreprise, que ce soit des séances de réflexion, des groupes de travail ou des évènements sociaux. C’est fréquemment dans ces instants informels que les liens se forment spontanément.

Participer à des occasions de rencontres

Les évènements de réseautage constituent des opportunités précieuses pour élargir votre réseau professionnel. Chaque opportunité de rencontrer des personnes partageant les mêmes intérêts, qu’il s’agisse de conférences, d’ateliers, de salons professionnels ou même de réunions locales, est une occasion de réseautage.

Avant de vous rendre à un évènement, il est recommandé de préparer une brève présentation de vous-même, de votre entreprise ou de vos aspirations professionnelles. Cela facilitera votre présentation de manière claire et inoubliable.

Préserver votre présentation

Il ne faut pas oublier que vous faites la rencontre de personnes partout : au bar du coin, lors d’un repas en famille, dans votre habitation… Il est important de pouvoir bien se présenter dans toutes les situations, tant à l’écrit qu’à l’oral. Afin d’attirer l’attention et multiplier les opportunités, veillez à vous présenter en moins de 3 minutes. Présentez-vous de manière concise et pertinente en décrivant votre personnalité, votre expérience, votre situation actuelle et vos objectifs. Trois-quatre mots et la partie est terminée. N’oubliez pas de faire preuve d’enthousiasme, de dynamisme et de naturel en toutes situations !

Assurez-vous de prendre contact avec des personnes inconnues

Les soirées de réseautage, les applications de rencontres professionnelles et les salons professionnels peuvent susciter de la peur, en particulier si l’on est introvertie et qu’on n’a pas l’habitude de rencontrer de nombreuses personnes. Avez-vous déjà envisagé de proposer un appel ou un café virtuel aux personnes que vous suivez sur Instagram et Linkedin ? En effet, cette initiative (mesurée) pourra vous fournir de nouvelles connaissances, vous inspirer, établir une nouvelle relation et éventuellement ouvrir de nouvelles perspectives.

Utilisez LinkedIn en tant qu’expert du réseau social

Ne soyez pas seulement présent sur LinkedIn. Présentez un profil précis et dynamique. Les médias sociaux jouent un rôle essentiel en accélérant et en facilitant le Réseautage. Transformez-vous en expert de LinkedIn : parcourez des ouvrages sur le sujet ou suivez des formations. Il est également important de prendre le temps de vous connecter sur LinkedIn avec toutes les personnes que vous connaissez et celles que vous allez rencontrer. Il est également possible de faire son CV en ligne pour attirer des nouvelles personnes qui sont susceptibles de travailler avec vous.

Prendre en compte les intérêts communs des interlocuteurs

Que ce soit par courrier électronique ou lors d’une soirée, il est préférable d’éviter d’envoyer le même message ou de discuter brièvement avec tout le monde. Mettre l’accent sur ceux qui vous inspirent, les influenceurs et les personnes que vous admirez afin de saisir les profils qui vous attirent. Ne vous orientez pas seulement vers des individus de votre domaine d’activité, comme pour des amis, envisagez des centres d’intérêt et des passions communes. Il est important de rappeler que vous ne savez pas où cela vous conduira. Et comment allez-vous parvenir à établir des liens solides sans partage d’intérêts ?

Informations sur les frais du contrat d’assurance vie

Vous pouvez investir dans votre contrat d’assurance vie sous 3 formes différentes. D’abord, il y a le versement initial que vous faites lors de la souscription. Cela peut être sous forme d’un chèque, d’un prélèvement automatique ou d’un virement. Puis, il y a les versements complémentaires libres, autrement dit, vous versez de l’argent dans votre contrat quand bon vous semble et la somme à verser est tout aussi libre. Enfin, il y a les versements complémentaires programmés, c’est-à-dire que vous définissez à l’avance un certain montant à investir dans votre contrat ainsi que la fréquence du versement. Mais sachez que vous pouvez vous contenter également du versement initial, il n’y a aucune obligation en la matière. Qu’en est-il des frais du contrat d’assurance vie ? Premièrement, il y a les frais d’entrée et ceux prélevés à chaque versement qui peuvent aller de 0 à 5 %. Renseignez-vous à l’avance pour ne pas être pris au dépourvu. Deuxièmement, les frais d’arbitrage qui sont prélevés sur le montant des sommes transférées d’un fonds à l’autre. Ces frais n’excèdent pas 1 % en général. En troisième lieu, il y a les frais de gestion qui correspondent à la rémunération de l’assureur. Selon les contrats, ils varient entre 0,5 et 1,5 % de la totalité de l’épargne constituée.

Comment récupérer de l’argent sur votre contrat ?

Pour rappel, il est tout à fait possible de retirer les sommes placées dans un contrat d’assurance vie et ce, à tout moment. Vous pouvez effectuer un rachat partiel, dit libre, et alors, vous devez stipuler l’impôt sur le revenu, le prélèvement forfaitaire libératoire ou l’option fiscale. Il est possible de faire un rachat partiel en ligne. Mais vous avez aussi la possibilité de réaliser des rachats partiels programmés, peut-être pour vous constituer des revenus pour votre retraite. Pour ce faire, vous devez définir la somme et la fréquence dans le contrat. Enfin, il y a ce qu’on appelle « avance », ce qui ce qui veut dire un prêt que l’assurance vous octroie, moyennant des intérêts bien entendu. Sachez qu’une telle avance n’est pas imposable et ne modifie en rien la valeur de votre contrat. Si vous souscrivez une assurance vie Nalo, votre argent n’est pas bloqué non plus, donc, vous êtes libre d’effectuer des versements ou de retirer une partie ou la totalité de vos fonds. En optant pour un rachat partiel, vous recevrez l’argent sous 72 h mais pour un rachat total, vos fonds arrivent dans votre compte bancaire dans un délai de 30 jours.

La formation financée par CPF

Ayant remplacé le Droit individuel de Formation (DIF), le compte personnel de formation (CPF) est aujourd’hui un compte personnel alimenté en euros si auparavant en heures de formation. Ce système de formation a comme avantages d’être utilisable par tous les travailleurs tout au long de leur vie active, de contenir toutes les heures de formations acquises par le salarié et de recenser les différentes offres de formations pouvant être bénéficiées par le salarié.

Le projet de transition professionnelle

Pour obtenir ce type de financement, il faut au préalable formuler une demande auprès d’un organisme paritaire agréé par l’État, notamment l’Opacif ou le Fongécif. Avec ce dispositif, le travailleur peut bénéficier d’une prise en charge d’environ 80 % de sa rémunération et un soutien partiel des frais de formation. Néanmoins, il doit justifier d’une activité d’au moins deux ans dans une entreprise.

Le fonds national d’aide d’urgence

Si vous êtes trop âgé pour pouvoir bénéficier d’une bourse, il est toujours possible de se tourner vers le FNAU ou Fonds National d’Aide d’Urgence. Cette forme de financement s’adresse avant tout aux personnes moins de 35 ans. Il en existe deux modalités de financement à savoir une aide ponctuelle et une aide annuelle. Pour faire la demande, il faut tout simplement s’adresser auprès du Crous.

Le pôle emploi

Pour financer votre formation pour adultes, consultez d’abord votre conseiller Pôle Emploi. Grâce aux soutiens de Pôle Emploi, environ 51 % des chômeurs ayant suivi une formation ont pu retrouver un travail au bout de 6 mois. Pour certains types de formation, il est possible de demander des soutiens financiers auprès d’autres structures comme le Conseil Général, la Mairie ou encore le Conseil Régional.

Pour faciliter l’organisation des enseignants et la présentation des cours

Les anciens rétroprojecteurs laissent aujourd’hui leur place aux visualiseurs de documents. Outre le fait de permettre la projection en grand format des éléments de cours (documents, textes, images, etc.), ils allègent grandement le travail des professeurs. Un visualiseur mobile permet d’afficher des images et des textes depuis l’ordinateur de l’enseignant. De ce fait, ce dernier n’aura plus besoin d’investir dans la production de supports de cours divers (photocopies de leçons, d’exercices, etc.). Il peut apporter des modifications aux documents présentés et les sauvegarder tout en poursuivant la présentation du cours. En utilisant un visualiseur, le professeur s’assure également que tous les élèves de sa classe jouissent d’une bonne visibilité de ce qui est projeté au tableau. Il interagit avec les images diffusées et y apporte des annotations de manière simplifiée rien qu’en utilisant son ordinateur.

Pour les aider à rendre les cours plus interactifs

À l’instar d’un TBI, d’un TNI ou d’un écran géant digital, le visualiseur de bureau permet également une meilleure interaction entre l’enseignant et ses élèves durant les cours. De la même manière, les élèves sont plus à même de participer aux cours, d’échanger entre eux, mais aussi, avec le professeur. Les visualiseurs de documents permettent aux enseignants de projeter directement en image les pages d’un manuel de cours. Ce type d’outil les aide lors des présentations de travaux, d’une expérience, d’une manipulation, etc. Le visualiseur se présente aussi comme un outil pédagogique pratique et performant qui permet à l’enseignant de susciter l’intérêt de ses élèves lors des cours. Qui plus est, cela permet à ces derniers de développer leurs mémoires visuelles. Sachant que les images ont plus d’impact sur les apprenants, ce type d’outil, d’une certaine manière, améliore les techniques d’apprentissage.

Un outil aux multiples avantages

L’utilisation de ce type d’outil par les enseignants permet aux élèves d’accéder plus facilement à des visuels souvent issus de ressources non numériques.
Les professeurs seront plus à même de présenter des images d’objets ou d’animaux de petite taille, car le visualiseur est équipé d’un zoom qui permet d’agrandir les images sans en altérer la qualité. Ce qui permet à chaque élève de distinguer précisément tous les détails.
Disposer de ce type d’appareil est aussi pratique en termes d’apprentissage pour les élèves qu’en termes d’organisation pour les enseignants.
Pour améliorer l’apprentissage, les écoles et les universités peuvent ainsi investir dans un visualiseur mobile de documents qu’on peut déplacer d’une classe à une autre ou dans plusieurs visualiseurs. Tout dépend du budget des écoles, mais en avoir au moins un est déjà un pas en avant, rendant l’apprentissage plus intéressant et ludique.

Comment intégrer une université à Paris

Les académies parisiennes s’ouvrent à tous les nouveaux bacheliers. Généralement, les institutions ne pratiquent pas de sélection, mais appliquent la politique des places limitées. Par contre, les postulants issus des lycées de Paris sont prioritaires pour intégrer les campus parisiens. Les universités accueillent les élèves fraîchement diplômés, les premières années en master et les étudiants en admission parallèle (bac+1 et bac+2). Au sein de la Ville lumière, le panel de formation est très varié. Toutefois, il existe quelques filières qui sont strictement sélectives telles que la PACES et les double-licences.

Comment choisir son université à Paris ?

Les universités parisiennes proposent des disciplines pour étudier l’économie-gestion, le droit et les sciences politiques, les sciences humaines et sociales, l’Art, les lettres et langues, l’histoire, les mathématiques, la médecine et le sport. Les formations sont sanctionnées par une licence et ouvrent en théorie une possibilité de continuer un master. Les étudiants en master doivent effectuer un stage de fin d’études qui figurera tout de suite comme une expérience professionnelle concluante dans leur CV.

Les perspectives après les universités de Paris

Les universités parisiennes ont une excellente réputation auprès des entreprises recruteuses. Certains instituts existant depuis déjà plusieurs siècles, tels que la Sorbonne, ont même une place d’honneur dans les classements des meilleures universités à l’international. Un grand nombre de professionnels français et étrangers de renom ont effectué leurs cursus dans certains de ces établissements. Reconnues pour la qualité exceptionnelle de leur formation, les universités de Paris garantissent un futur professionnel fructueux pour leurs apprenants. Elles offrent également un ticket d’assurance pour ceux qui souhaitent intégrer d’autres grandes écoles pour compléter leurs formations.

Quelques notions à connaitre avant d’investir

Un investissement est une action qui peut être autant risquée qu’avantageuse pour l’entreprise. Avant de se lancer, il est essentiel de prendre en compte certains critères de base. Un investissement doit toujours suivre les objectifs de l’entreprise et ne pas s’éloigner de sa vision principale. C’est donc une question de priorité qui est en jeu, car le choix de l’investissement devra être bien réfléchi.
Dans un investissement, il y aura également l’obligation de puiser dans les ressources financières. Les dépenses et les gains qui en découleront doivent être bien analysés avant de prendre toute décision. Pour être certain de faire un bon investissement, il est préférable de se faire conseiller par des experts.

Les types d’investissement

Dans la gestion d’entreprise, il existe deux types d’investissement principaux. La première est de type comptable, et qui est l’ensemble des éléments de base de l’entreprise. En d’autres termes, on parle ici des investissements corporels tels que les appareils technologiques ou le mobilier utilisé ; des investissements financiers, réunissant les fonds de commerce et les actions entreprises par la société.
Le deuxième est de type gestion. Ce sont les investissements productifs, de remplacement et de confort de l’entreprise. C’est-à-dire, tous les investissements dont les objectifs sont de viser à établir un bon chiffre d’affaires, à améliorer le cadre de travail et de permettre à l’entreprise de survivre sur le long terme.

Télétravail : quels sont les rôles des responsables RH ?

La mise en place du travail au sein d’une entreprise répond à des règles strictes auxquelles sont soumis tous les employés. Les responsables RH sont également contraints de se réorganiser pour effectuer un suivi à distance. Leur principal rôle est de s’assurer à ce que les salariés en télétravail disposent des moyens nécessaires pour effectuer leurs missions depuis chez eux. Certaines conditions comme la disponibilité d’appareils électroniques adéquats et d’une bonne connexion sont de ce fait obligatoires. Ou encore, il faut des outils pour la gestion des horaires et de diverses conditions pour que le télétravailleur puisse accomplir sa fonction pleinement. Les managers doivent aussi se réinventer pour parvenir à gérer leurs équipes à distance. Ces derniers doivent par ailleurs, avoir l’appui des responsables RH pour qu’ils soient en condition d’assurer leurs missions.

Comment organiser son télétravail ?

La gestion du télétravail est une tâche compliquée qui nécessite davantage de responsabilités. En effet, l’organisation des plannings et le suivi régulier de tous les salariés augmentent le volume de travail des responsables RH. Cela concerne également l’élaboration d’un calendrier de rotation pour que les salariés puissent assurer un minimum de présence en entreprise. L’entretien des liens sociaux entre et avec les salariés est aussi essentiel pour optimiser leur productivité. Par ailleurs, la fixation d’objectifs bien clairs pour chaque salarié est primordiale pour que le télétravail ne se transforme pas en un moment de relâchement. Les objectifs doivent tout de même prendre en compte les réalités et l’environnement de travail du salarié travaillant à distance. Enfin, il est important d’élaborer un guide et d’accompagner les télétravailleurs pour qu’ils puissent avoir une discipline de travail rigoureuse même à la maison.

Les raisons de l’établissement de ce type de plan

Le plan de développement des compétences est un dispositif que l’employeur met à la disposition de ses salariés. Il vise entre autres la formation de l’employé pour qu’il soit apte à réaliser correctement les missions qui lui incombent à son poste. C’est aussi un dispositif qui va permettre aux salariés d’une société de se développer afin de faire évoluer l’entreprise. En ce sens que le plan de développement des compétences en faisant évoluer les salariés va permettre à l’entreprise de développer ses propres capacités et d’améliorer sa productivité. Cela permet aussi d’organiser des formations communes. Ce qui assurera une meilleure communication entre les salariés et ces derniers avec les dirigeants. Cela vise à assoir un meilleur climat social au sein de l’entreprise et de permettre un meilleur dialogue social.

Le plan de développement des compétences : comment ça se passe ?

Ce type de plan va se ternir en parallèle avec le temps de travail de l’employé. En d’autres termes, un employé qui suivra l’application du plan ne sera pas imputé de son salaire. Par ailleurs, selon le Code du travail dans son article L-6321-6, il est possible que l’activité de développement de compétences se déroule en dehors de l’entreprise. Mais dans ce cas, il faudra que la séance ait été validée par un accord collectif au sein de la société. Si c’est l’employé qui donne son accord pour effectuer l’activité en dehors du cadre de l’entreprise, il ne devra pas dépasser les 30 h de formation par an pour effectuer son développement de compétences. Il faut aussi savoir que si l’employé suit ces formations après l’heure de travail, l’heure de formation ne devra pas être affectée à ses heures supplémentaires, comme stipulé par le décret 2018-1229 du 24/12/2018. Outre ces points, si un employé est concerné par un plan de développement de ses compétences, il n’a pas le droit de refuser cet appui. Toutefois, l’employeur ne peut pas lui imposer la formation après les heures de travail ou durant les jours non travaillés.

Si vous êtes demandeurs d’emploi (chômeur)

Le CPF (Compte personnel de Financement) est une solution de financement si lors de votre précédent parcours professionnel vous avez déjà pu cumuler des heures de formations. Dans le cas où vous êtes encore indemnisé, vous pouvez recourir à l’ARE (Aide de retour à l’Emploi) qui est versé par le Pôle Emploi. Sinon, vous pouvez aussi bénéficier des aides sur dossier versées par le Conseil Général de votre département. Mais, ce financement n’est possible que lorsque vous n’êtes plus sous ressource de Pôle Emploi. Si vous êtes en situation de handicap, vous pouvez bénéficier de l’aide de l’Agefiph (Association de gestion du fonds pour l’insertion des personnes handicapées).

Si vous êtes en CDI

Le CPF est également une solution qui s’offre à vous. Grâce à ce dispositif, vous pouvez disposer de 24 heures de formation en une année si vous travaillez à temps plein. Il est toutefois à noter que les heures de formations cumulées sont plafonnées à 150 heures au maximum. Il convient donc pour les formations de courtes durées. Pour les formations de longues durées, le CIF (Congé individuel de Formation) est plus adapté. Il s’agit d’un financement qui s’effectue par le biais de l’Opacif, le Fongecif ou encore l’OPCA de celui qui vous emploie. Votre formation sera donc prise en charge et votre salaire sera maintenu à hauteur du double du SMIC.

Si vous êtes en CDD

Le CPF est un dispositif de financement de formation que vous pouvez utiliser si vous venez de signer un CDD. Toutefois, il ne faut pas que la formation se déroule au cours de votre période d’embauche. De même, il devra se faire en moins d’un an après que votre dernier contrat a pris fin. Outre cela, vous pouvez aussi utiliser le CIF avec vos propres conditions. Pour ce faire, vous devez cependant justifier de 24 mois de contrat au minimum sur les 4 dernières années et de 4 mois de travail au minimum sur les 12 dernières années. Aussi, vous devez aussi suivre la formation en moins d’un an après la fin de votre dernier CDD.