Quel besoin de se former en plus du talent ?

L’art est une activité globale dans laquelle est inclus un grand nombre de disciplines. La classification actuelle des arts en différencie sept : l’architecture, la sculpture, la peinture, la musique, la poésie (et la littérature), le spectacle vivant (théâtre, cirque) et le cinéma. Autant de domaines qui nécessitent le talent pour émerger. Il est vrai en effet que sans le talent, il est impossible de devenir un artiste du devant de la scène. Cependant, il est possible de produire un œuvre d’art correct, c’est-à-dire sans erreur ou faute de goût manifeste, bien qu’une faute de goût relève surtout de la perception des autres et non de celui qui produit l’œuvre.
Malgré cela, les artistes et les amoureux de l’art se rendent quelquefois compte d’un défaut de niveau. Pour se hisser au premier plan, ils ressentent un besoin de formation complémentaire.

Les écoles et les besoins

Ils ont le choix pour s’inscrire entre une quarantaine d’écoles publiques supérieures d’art ou écoles des beaux-arts qui proposent des formations artistiques, sanctionnées par le DNA (Diplôme National d’Art) en 3 ans et le DNSEP en 2 ans supplémentaires. Ces écoles jouissent d’une bonne réputation et attirent un bon nombre de bacheliers. D’où une forte sélection à l’entrée.
En fait, il existe des domaines spécifiques qui ont des exigences techniques particulières, dont l’architecture par exemple. Mais hormis ces cas particuliers, les compétences attendues par les artistes concernent d’abord des capacités relatives à l’amélioration de leurs performances. Ils s’attendent à acquérir des techniques vocales de virtuoses reconnus ou des inspirations pour des pas de danses inédits.
Mais beaucoup d’entre les apprenants des écoles d’art sont aussi là pour la gestion de leur carrière d’artiste, pour apprendre comment mettre leur talent en avant et se faire reconnaître du public.

Comment intégrer une université à Paris

Les académies parisiennes s’ouvrent à tous les nouveaux bacheliers. Généralement, les institutions ne pratiquent pas de sélection, mais appliquent la politique des places limitées. Par contre, les postulants issus des lycées de Paris sont prioritaires pour intégrer les campus parisiens. Les universités accueillent les élèves fraîchement diplômés, les premières années en master et les étudiants en admission parallèle (bac+1 et bac+2). Au sein de la Ville lumière, le panel de formation est très varié. Toutefois, il existe quelques filières qui sont strictement sélectives telles que la PACES et les double-licences.

Comment choisir son université à Paris ?

Les universités parisiennes proposent des disciplines pour étudier l’économie-gestion, le droit et les sciences politiques, les sciences humaines et sociales, l’Art, les lettres et langues, l’histoire, les mathématiques, la médecine et le sport. Les formations sont sanctionnées par une licence et ouvrent en théorie une possibilité de continuer un master. Les étudiants en master doivent effectuer un stage de fin d’études qui figurera tout de suite comme une expérience professionnelle concluante dans leur CV.

Les perspectives après les universités de Paris

Les universités parisiennes ont une excellente réputation auprès des entreprises recruteuses. Certains instituts existant depuis déjà plusieurs siècles, tels que la Sorbonne, ont même une place d’honneur dans les classements des meilleures universités à l’international. Un grand nombre de professionnels français et étrangers de renom ont effectué leurs cursus dans certains de ces établissements. Reconnues pour la qualité exceptionnelle de leur formation, les universités de Paris garantissent un futur professionnel fructueux pour leurs apprenants. Elles offrent également un ticket d’assurance pour ceux qui souhaitent intégrer d’autres grandes écoles pour compléter leurs formations.

Prenez le temps d’assister aux derniers cours

Les enseignants consacrent habituellement les derniers cours aux questions-réponses. De ce fait, révisez vos leçons et préparez vos questions à poser durant ces dernières séances avec vos profs. Prenez des notes, tendez l’oreille sur les questions posées par les autres étudiants, et surtout, essayez de fournir les réponses dans vos notes ou dans votre tête. Comparez ensuite avec les réponses de votre prof. Cela vous permettra de définir votre niveau sur un sujet spécifique. Par ailleurs, soyez attentifs, car durant ces dernières séances, les professeurs laissent généralement traîner des indices sur les questions et les sujets qui vont être traités durant l’examen. Certains répètent les mêmes informations plusieurs fois, d’autres mentionnent clairement quelques sujets qui pourraient faire l’objet d’un questionnaire d’examen. Il y a également ceux qui attirent votre attention sur un concept précis et vous donnent assez de temps pour prendre des notes.

Revoir l’ensemble des cours, se tester et retraiter les anciens sujets d’examen

Mettez votre raisonnement à l’épreuve en traitant vos anciens sujets d’examen. Pour optimiser vos chances de réussite, variez au maximum les exercices à faire. Révisez en groupe si possible et placez-vous dans de véritables conditions d’examen. Testez vos compétences en répondant oralement et par écrit aux questions de vos amis. Cela vous permettra d’aborder le sujet sur plusieurs angles et d’avancer des réponses mieux organisées. Dans cette même optique, essayez d’anticiper le contenu des épreuves. Les questions porteront certainement sur des thèmes importants alors, identifiez-les. Pour terminer, la veille de l’examen, revisitez vos cours, mais uniquement de manière globale. Revoir l’ensemble des notes vous permettra de faire un récapitulatif sur la totalité de vos acquis et de les structurer dans votre tête.

Prendre du temps pour soi

Évitez de saturer votre mémoire, assimilez plutôt les informations de manière progressive et continue. Si vous essayez de tout apprendre par cœur, vous risquez de vous embrouiller et ne plus vous souvenir de vos notes le jour J. À la place, structurez votre préparation, dormez, relaxez-vous, mangez correctement et surtout, reposez-vous. Un corps reposé et un esprit détendu vous donneront une mémoire vive et réactive.